Retour sur le 23 mai 2019 : rencontre avec Laure Mi Hyunh Croset à Saint-Maurice

Dans le cadre des cafés littéraires la Médiathèque Valais Saint-Maurice (Suisse), Laure Mi Hyuh Croset a présenté son roman S’escrimer à l’aimer, finaliste du 25e Prix Lettres frontière 2018,le jeudi 23 mai 2019 de 12h30 à 13h30. La rencontre, modérée par Geneviève Erard, professeure au Lycée-Collège de l’Abbaye de Saint-Maurice, fut drôle et pleine d’émotion. Parmi les vingt…

Quatorze

« Prologue – octobre 2016
Augustin est assis en tailleur sur le tapis.
Elle s’asseyait toujours en tailleur. Partout. Sur les chaises, les fauteuils. Les canapés. Et par terre, évidem¬ment.
Il y a du soleil dehors. Doux. Un chuchotement de lumière.
Il appuie son dos contre le canapé. S’enfonce dans le tapis qui n’est pas profond. Une scène de chasse. Un tapis en laine. Et en soie. Un tapis sublime. Celui de leur mariage. La soie pour le bleu et le turquoise. Des arabesques. Des animaux qui ondulent. Des cavaliers avec de longues lances. Il est pieds nus. La douceur du tapis lui fait du bien.
Il a mis de la musique.
Les moulins de mon coeur.
Qu’il écoute les yeux fermés. »

La grande roue

« Prologue – octobre 2016
Augustin est assis en tailleur sur le tapis.
Elle s’asseyait toujours en tailleur. Partout. Sur les chaises, les fauteuils. Les canapés. Et par terre, évidem¬ment.
Il y a du soleil dehors. Doux. Un chuchotement de lumière.
Il appuie son dos contre le canapé. S’enfonce dans le tapis qui n’est pas profond. Une scène de chasse. Un tapis en laine. Et en soie. Un tapis sublime. Celui de leur mariage. La soie pour le bleu et le turquoise. Des arabesques. Des animaux qui ondulent. Des cavaliers avec de longues lances. Il est pieds nus. La douceur du tapis lui fait du bien.
Il a mis de la musique.
Les moulins de mon coeur.
Qu’il écoute les yeux fermés. »

Boréal

« Prologue – octobre 2016
Augustin est assis en tailleur sur le tapis.
Elle s’asseyait toujours en tailleur. Partout. Sur les chaises, les fauteuils. Les canapés. Et par terre, évidem¬ment.
Il y a du soleil dehors. Doux. Un chuchotement de lumière.
Il appuie son dos contre le canapé. S’enfonce dans le tapis qui n’est pas profond. Une scène de chasse. Un tapis en laine. Et en soie. Un tapis sublime. Celui de leur mariage. La soie pour le bleu et le turquoise. Des arabesques. Des animaux qui ondulent. Des cavaliers avec de longues lances. Il est pieds nus. La douceur du tapis lui fait du bien.
Il a mis de la musique.
Les moulins de mon coeur.
Qu’il écoute les yeux fermés. »

Trois fois la fin du monde

« Prologue – octobre 2016
Augustin est assis en tailleur sur le tapis.
Elle s’asseyait toujours en tailleur. Partout. Sur les chaises, les fauteuils. Les canapés. Et par terre, évidem¬ment.
Il y a du soleil dehors. Doux. Un chuchotement de lumière.
Il appuie son dos contre le canapé. S’enfonce dans le tapis qui n’est pas profond. Une scène de chasse. Un tapis en laine. Et en soie. Un tapis sublime. Celui de leur mariage. La soie pour le bleu et le turquoise. Des arabesques. Des animaux qui ondulent. Des cavaliers avec de longues lances. Il est pieds nus. La douceur du tapis lui fait du bien.
Il a mis de la musique.
Les moulins de mon coeur.
Qu’il écoute les yeux fermés. »

Esmeralda

« Prologue – octobre 2016
Augustin est assis en tailleur sur le tapis.
Elle s’asseyait toujours en tailleur. Partout. Sur les chaises, les fauteuils. Les canapés. Et par terre, évidem¬ment.
Il y a du soleil dehors. Doux. Un chuchotement de lumière.
Il appuie son dos contre le canapé. S’enfonce dans le tapis qui n’est pas profond. Une scène de chasse. Un tapis en laine. Et en soie. Un tapis sublime. Celui de leur mariage. La soie pour le bleu et le turquoise. Des arabesques. Des animaux qui ondulent. Des cavaliers avec de longues lances. Il est pieds nus. La douceur du tapis lui fait du bien.
Il a mis de la musique.
Les moulins de mon coeur.
Qu’il écoute les yeux fermés. »

Maternité

« Prologue – octobre 2016
Augustin est assis en tailleur sur le tapis.
Elle s’asseyait toujours en tailleur. Partout. Sur les chaises, les fauteuils. Les canapés. Et par terre, évidem¬ment.
Il y a du soleil dehors. Doux. Un chuchotement de lumière.
Il appuie son dos contre le canapé. S’enfonce dans le tapis qui n’est pas profond. Une scène de chasse. Un tapis en laine. Et en soie. Un tapis sublime. Celui de leur mariage. La soie pour le bleu et le turquoise. Des arabesques. Des animaux qui ondulent. Des cavaliers avec de longues lances. Il est pieds nus. La douceur du tapis lui fait du bien.
Il a mis de la musique.
Les moulins de mon coeur.
Qu’il écoute les yeux fermés. »